Histoire d' amour

4' 

Coup de foudre réciproque et puissant : Une magnifique histoire d’amour

On rêve tous de connaître l’évidence d’une belle histoire d’amourPour les plus romantiques d’entre nous, on a secrètement espéré qu’un jour on rencontrerait celui ou celle qui, en un regard, en un sourire, bouleverserait notre vie. Que d’un coup de foudre naîtrait une histoire d’amour exceptionnelle. Une rencontre, un amour, une évidence. C’est une envie partagée par beaucoup. Et à l’heure actuelle où le virtuel, le rapide, le prêt à consommer, la surconsommation même, a perturbé tous les repères en matière de rencontre amoureuse, la question de l’amour vrai se pose de plus en plus. Le témoignage qui suit est d’autant plus beau qu’il est né grâce aux modes de communications modernes. Mais que pour autant, il n’a pas sombré dans le déjà vu, le glauque, le mensonge, le faux. Au contraire, c’est une belle histoire d’amour qui démontre que le moyen compte peu quand l’intention est sincère. Voici le récit d’un coup de foudre réciproque et puissant.

Coup de foudre réciproque et puissant : Une magnifique histoire d’amour

« Comme beaucoup, je disais ne pas croire aux coups de foudre. Pour moi, c’était une sorte de légende urbaine, un truc inventé pour les romans d’amour et les comédies à l’eau de rose. J’associais cela au désir, pas à l’amour. C’était uniquement physique, charnel, léger et éphémère. On ne pouvait pas construire une histoire d’amour sur un premier regard, une pulsion, un instinct presque animal.

Je me suis trompée. Depuis que je t’ai rencontré, je vis un coup de foudre longue durée. Cela fait 5 ans.

Je n’ai pas de honte à dire que sans nos écrans, je serai passée à côté de notre amour. Je croyais d’autant moins à la possibilité d’un coup de foudre que nous avons d’abord fait connaissance virtuellement sur un site de rencontres. Tristement banal ? Complètement superficiel ? Je n’étais pas loin de le penser également.
Mais avec toi, j’ai passé le cap du réel. J’ai eu cette curiosité de te rencontrer. Sûrement parce que tu n’as jamais fait de forcing, que nous échangions de vrais mails et que j’avais l’impression de connaître ton âme avant même d’avoir vu ton visage en vrai.
Si ton profil n’était pas fake, je savais d’après tes quelques photos que tu étais à mon goût. Mais je savais aussi le décalage potentiel entre virtuel et réel et donc la déception possible. Je ne m’attendais donc à rien. Tout au plus à rencontrer un homme agréable, comme à l’écrit.
Plus dans Histoires d'Amour
Mais sûrement pas à un tel raz de marée. Il n’y a pas d’autre mot. Enfin si.

Tu es entré dans ma vie tel un tsunami.

Depuis notre premier vrai regard échangé, plus rien n’a jamais été pareil. Jamais je n’avais ressenti cela. J’étais morte de trouille. Totalement perdue. Prise à mon propre piège. En un regard, en un sourire, tu venais de bouleverser toutes mes certitudes.
Cette sensation était d’autant plus incroyable qu’elle dépassait le simple désir. Et qu’elle était réciproque. À partir du moment où nous nous sommes rencontré, je n’ai plus jamais imaginé mon existence sans toi. J’ai ressenti cet appel, cette évidence émotionnelle qui m’a dit « C’est lui ».
Ça fait peur et en même temps c’est grisant. Déstabilisant. C’est un total bouleversement des sens, de ses émotions et de ses repères.
Comment gérer ce flot de sensations et d’émotions fortes qui me submergeaient ? Comment savoir ce que tu ressentais ? Qu’allait-il se passer suite à notre rencontre ? Une telle évidence pouvait elle rester caduque ? Inutile ? Vaine ?
On a parlé en marchant, discuté en buvant un café, chuchoté en regardant un film au cinéma, échangé en mangeant. Puis on a ri en se baladant, souri en se regardant, rougi en se prenant la main. On devait se voir pour un verre, on a passé presque une journée ensemble. Il était impossible de se quitter.
Quand tu as posé tes lèvres sur les miennes, sur ce pont à la nuit tombée, j’ai su que ce n’était pas qu’un simple baiser. Qu’une question de désir.

Et donc que le coup de foudre existe et peut mener au-delà d’une simple envie fugace. 

Tu es entré dans ma vie avec un naturel désarmant, une facilité évidente, comme si ta place était déjà prête. Il en a été de même pour moi. Comme si chacun de nous attendait l’autre sans le savoir. 
A vrai dire, je ne sais pas quand je suis tombée amoureuse de toi. C’est comme si je l’avais toujours été, dès le premier jour. 
Tu étais un profil sur un site de rencontres. Tu m’as fait connaître le coup de foudre.
Aujourd’hui tu me fais vivre l’amour au quotidien. C’est tout ce que j’ai besoin de savoir. Que tu m’aimes autant que je t’aime. »
COMMENTAIRE
6' 

Histoire d’amour : notre rencontre a fait de moi l’héroïne d’un roman

Quand on évoque nos histoires d’amour, on parle souvent de la rencontre. Ce moment crucial où tout se joue. Où l’attirance naît, le désir souvent, puis l’intérêt et l’envie de tout savoir de l’autre. De revoir encore et encore cette personne qui éveille en nous de nouvelles émotions. Et bientôt, de vrais sentiments amoureux. Aucune rencontre n’est anodine, banal, sans intérêt. Chaque histoire d’amour est belle, peu importe où le couple se rencontre, de quelle manière, à quelle occasion. Mais c’est vrai qu’il existe des rencontres dignes d’un roman ou d’un film d’amour.Certaines d’entre elles, romantiques ou passionnées, sont si intenses et à la fois si improbables qu’elles poussent à croire en l’existence du destin, de Cupidon, de l’évidence. Il y a des choses qui ne s’expliquent pas et au final c’est mieux ainsi. Tenter de rationaliser une rencontre amoureuse est inutile. Mais quand la rencontre se transforme en belle histoire d’amour, que son souvenir est si intense qu’il tourne en boucle dans la tête, il faut savoir en profiter. Et le partager. Voici un joli témoignage. Histoire d’amour : notre rencontre a fait de moi l’héroïne d’un roman.

Histoire d’amour : notre rencontre a fait de moi l’héroïne d’un roman

« La probabilité pour que nos chemins se croisent était quasi nulle. Et celle de se plaire était à mon sens impossible. Et pourtant, aujourd’hui tu es l’homme de ma vie et moi la femme de la tienne.

Peut-on parler d’un conte de fées des temps modernes ?

Au début, sans doute que oui. Je ne croyais d’ailleurs pas que notre liaison serait plus qu’une aventure. Je n’imaginais pas qu’on vivrait une véritable histoire d’amour.
Toi toujours entre deux avions. Moi jonglant entre ma vie de maman solo et de femme active pour vivre enfin de ma passion.
L’ennemi entre nous ? Le temps ou plutôt le manque de temps. 
L’obstacle ensuite ? La distance.
Et pourtant… Qui a dit qu’il n’y a que dans les films qu’on peut rencontrer l’homme de sa vie dans un aéroport ? Plein de monde et j’en faisais sans doute partie !
Plus dans Histoires d'Amour
Ce jour-là, tu étais donc à l’aéroport, attendant de partir pour Dubaï. À jongler entre tes mails et tes appels. Le stéréotype de l’homme d’affaires, voyageant en classe business, passant d’un continent à un autre. Ou plutôt d’une mégapole à une autre. Toi et ton amour des gratte-ciels, des buildings, de l’architecture toujours plus folle et futuriste.
Moi je venais chercher une amie, son vol avait du retard. Plutôt que d’attendre dans un parking glauque, j’avais préféré le confort relatif mais plus accueillant d’un café du terminal.
Avec mon look un peu bohème et les yeux plongés dans mon roman, j’étais à l’antithèse de toi. Il y avait peu de chances qu’on se rencontre un jour et quasi aucune qu’on se corresponde sur le papier.
Face à des hommes tels que toi, mon stupide complexe d’infériorité se réveillait.
Tu as regardé dans ma direction quand j’ai éclaté de rire à cause d’un passage de mon livre. Gênée d’avoir pu me faire remarquer, mon regard a croisé le tien. Si vert. Si intense. Je t’ai trouvé incroyablement beau. Je n’ai plus rien contrôlé.
J’ai eu envie de toi sans te connaître, une pulsion que je n’ai pas comprise.

Si le désir devait se matérialiser, là, tout de suite, tu l’incarnais parfaitement.

Tu m’as souri et tu t’es levé, mais pas pour partir. Tu es venu dans ma direction, me demandant le titre du livre qui me faisait tant rire. Et on a parlé. Naturellement. Alors que nos vies étaient aux antipodes, on avait les mêmes goûts et une sensibilité semblable. Et ce même désir qui ne cherchait pas à se cacher.
Tu m’as proposé de se voir à ton retour de Dubaï la semaine suivante. Je n’ai pas cherché d’excuses, je n’y ai même pas songé. Je ne sais pas minauder. J’ai dit oui. Un oui franc et direct.
Ce premier rendez-vous tardif avait le goût du plaisir, je n’en attendais rien de plus. Je l’assumais. Je pensais être trop insignifiante pour toi, pour te plaire réellement, pour te retenir plus d’une nuit.
Et cette vie de dingue que tu avais. Jamais là. Si demandé. Si occupé. Aimant ta solitude et ton pouvoir de séduction. 
Je me suis trompée. D’autres rendez-vous ont suivi. À chaque retour de tes déplacements professionnels, on se voyait. Tu m’appelais. On vivait une relation à distance.

J’avais le mot aventure encore en tête alors que nous vivions déjà une histoire.

Je ne voulais pas y croire. Pas tomber amoureuse de toi. Un homme comme toi, c’était trop dangereux pour moi. De la kryptonite qui faisait voler mes repères en éclats. 
Et puis comme pour les marins dans chaque port j’étais persuadée que tu avais une femme qui t’attendait dans chaque aéroport…
J’avais tort. Ce que je pensais banal, c’est ce que tu as aimé en moi. Ce que je croyais ennuyeux t’a rassuré. Mon naturel t’a séduit. Une femme sans filtres, c’est ce que tu voulais. Sans chichis ni mensonges. Avec une vie à elle et des projets. 
Tu n’as pas eu peur de mon statut de maman solo, toi même déjà papa. Tu n’as pas craint ma reconversion professionnelle, toi si ambitieux et créatif. Au contraire, tu m’y as même encouragée. 
J’étais une femme des champs, toi un homme des villes. J’étais maman à plein temps, tu étais père à demi. Je vivais simplement, tu connaissais une certaine aisance. Rien ne semblait nous relier à part ce désir fulgurant. Mais pas fugace.
Le désir s’est transformé. Ce n’était pas qu’une envie des corps. Nos âmes s’en sont mêlées. Nos sensibilités, nos valeurs, nos principes, nos envies et nos rêves.

Quand mon cœur est entré en jeu, j’ai su que j’étais foutue. Heureusement pour moi, le tien en a fait autant.

On a su adapter nos vies entre ton rythme affolant et le mien. Entre mes envies de vie au calme et ton hyperactivité. On a su les relier. Nos envies, nos projets, nos sentiments. Nos chez nous, nos enfants. 
Aujourd’hui, je prends l’avion plus souvent, et toi un peu moins.
Je ne crois pas au hasard mais là je ne sais pas comment il faut appeler notre rencontre. Chance. Destin. Évidence ? Je n’ai pas ce mot à poser sur notre « nous ». Je le vis chaque jour, tout simplement avec la même intensité.
Mais au fond de moi, la romantique que je suis ne se lassera jamais de l’histoire de notre rencontre. J’aime l’idée d’avoir été, un temps, l’héroïne d’un roman. »
5' 

Une histoire d’amour courte mais intense, belle mais triste (Par Philippe)

Aujourd’hui, c’est Philippe qui nous raconte une histoire d’amour courte mais intense qu’il a vécue en 1991 ! Une histoire d’amour qui a à peine commencé et qui pourtant, a remué deux coeurs au cours d’un trajet en train.

L’histoire d’amour courte mais intense de Philippe :

Décembre 1991, en début d’après-midi, TGV Paris-Lyon Part Dieu.
J’effectue mon service militaire. 
J’ai 22 ans. Une permission exceptionnelle pour les fêtes que je vais partagée avec ma soeur, son mari et quelques amis.

Le train est bondé de monde ! Beaucoup vont au ski !

Mon voisin est un camarade en permission lui aussi et nous discutons de notre expérience commune avec l’armée. Il est sympa, et je me sens bien ! Dans deux heures je suis à Lyon et je sais que je vais bien faire la fête !
Nous sommes encore en région parisienne lorsque, d’un bref mouvement de tête vers les voyageurs en général, je remarque une jeune femme aux cheveux blonds qui me fixe.

Immédiatement, mon regard revient sur elle.

Elle ne lâche pas son attention sur moi, elle me regarde par intermittence. Assise à environ quatre mètres de moi, je la devine assez grande bien qu’elle soit assise. Elle doit avoir mon âge et voyage avec ses parents qui sont en face d’elle, une table les sépare et elle a son frère à sa droite. Son visage est doux, très agréable, et j’y décèle immédiatement une certaine attirance envers moi !

Elle a déjà gagné, captivé mon attention. Je ne résiste plus à l’envie de la regarder toutes les … trois secondes ?!!!

Mon camarade décide de faire une sieste. Je suis alors libre d’admirer mon inconnue !
Elle ne dit pas grand chose, me regarde juste, échange un mot ou deux de temps en temps avec ses proches ! Et revient poser ses yeux sur moi !
Elle est italienne et j’adore l’entendre parler, même si je ne distingue pas bien sa voix, trop de bruit !

Nous nous aimons en silence et je sais que je vis un moment extraordinaire !

Une rencontre unique et sans précédent que je ne ferai qu’une seule fois dans ma vie.
Je suis hypnotisé par son visage d’ange, je SAIS qu’elle est douce, aimante et attentionnée. Ses yeux, sa bouche, ses sourcils délicats, ses sourires me le disent, me le crient ! J’ai envie d’aller lui prendre la main pour la lever de son fauteuil, la serrer dans mes bras et l’embrasser avec tendresse. La situation m’en empêche bien sûr, et je suis frustré de savoir que je ne peux prendre contact avec elle ! Alors je la dévore des yeux et je bois cet instant de pur bonheur !

Soudain, après avoir prononcé une phrase, elle se lève et me fixe d’un regard appuyé, tout particulièrement cette fois !

Le message est clair ! Je lui fais un petit oui de la tête et je sais que je vais la suivre ! Je pense qu’elle a dit à ses parents qu’elle devait se soulager d’un besoin naturel. Nous allons donc avoir…. trois minutes à nous !!!
Plus dans Histoires d'Amour
Mon coeur s’enflamme et je m’apprête à me lever. Mais au même moment que sa fille, la mère se lève, elle l’accompagne !!!
Je me ravise instantanément, trop timide pour les suivre et faire semblant d’être le suivant pour un passage au petit coin ! Quel idiot j’ai fait, j’aurais au moins pu l’approcher, plonger mes yeux dans les siens de très près et sentir son parfum ! Mon Dieu qu’elle est belle !!!
Elles ne mirent pas longtemps à revenir s’asseoir !

Elle me fixe à nouveau d’un regard presque triste, je lis sa déception, la comprends, je vis la même !

Mes sentiments intérieurs sont partagés par l’amour que je ressens et la tristesse car je sais que ça va prendre fin dans quelques instants ! Le micro annonce l’arrivée en gare de Lyon Part Dieu.
Nos visages ne rient plus, nous nous dévisageons d’un regard tendre !

Le train s’arrête dans un sifflement strident que je ne détesterai jamais autant que ce jour-là !!!

Ma belle, mon amour, te voilà déjà descendue sur le quai ! Je salue mon collègue militaire et je sors aussi vite que je peux !
Elle a pris au moins une minute d’avance sur moi et je panique à l’idée que c’est fini, que je ne la verrai plus !
Jamais je n’ai vu un quai de gare aussi bondé que ce jour-là !

Où est-elle, mes yeux survolent la foule mais je ne parviens pas à la trouver !

Je suis si déçu !!!
Et puis un homme fait un pas, et là je vois le visage de ma fée italienne qui me cherche et me trouve aussi au même instant !!!
Elle me voit, une dernière fois, et m’adresse un dernier regard avec les lèvres pincées et un haussement d’épaule comme pour me dire « c’est dommage ! c’est vraiment dommage !!! Mais on ne pourra pas faire mieux ! »
Je suis paralysé, mon sac à dos à la main que je n’ai pas pris le temps d’enfiler ! Une personne me bouscule, s’excuse, mais je ne la calcule pas, je n’ai que la force d’adresser à ma reine d’un jour ce même regard triste et déçu ! Ce même pincement de lèvres. Nos coeur nous font mal ! 

Nos yeux se disent je t’aime… Une dernière fois !

Avec près de trente années de recul, je crois ne pas une seule fois avoir échangé un tel regard, de façon aussi intense qu’avec cet ange blond !!!
Cela fait 28 ans, mais je me souviendrai à jamais de la beauté de cette journée, de ces deux heures passées à nous dévorer des yeux, à nous aimer, tout simplement !!!
De l’autre côté du quai, il y avait un train de couleur bordeaux, sur lequel j’ai pu lire une pancarte marquée « Turin ». J’imagine à quel point la fin de son voyage n’a pas dû être facile, et que mon souvenir l’a hanté autant que le sien m’a suivi durant plusieurs semaines, plusieurs mois, des années même ! Une histoire d’amour courte mais intense, que je n’oublierai jamais.
La vie est parfois cruelle et si belle à la fois, car ce jour-là, j’ai aimé un ange !
COMMENTAIRE


Commentaires

Posts les plus consultés de ce blog

Lycée moderne de Bocanda : une élève de 10 ans, en classe de 6ème, enceinte

La Police ivoirienne est postée devant la Résidence privée de Guillaume Soro à Marcory,